LE GRAND BERGER ET SON FILS, LE BON
BERGER.
Jean 10 : 1-16.
« Le bon berger donne sa vie
pour ses brebis. »
David,
le Psalmiste, a écrit prophétiquement « L’Eternel est mon berger, je ne
manquerai de rien » (Psaume 23), car, au temps de David, les
arrangements relatifs au Berger et au troupeau de cette leçon n’avaient pas été
complétés. Il est vrai que le Père Céleste avait déjà tracé son plan entier
concernant la rédemption de l’humanité, le retour de celle-ci sous ses soins
tel son troupeau mais Il n’avait pas encore envoyé son Fils unique engendré, le
Bon Berger, pour donner sa vie pour les brebis, pour appeler le troupeau, pour
ouvrir la porte et pour les conduire vers les pâturages et le repos. Néanmoins,
sous la Providence Divine, ceux qui composaient la nation d’Israël avaient déjà
été rassemblés, comme ceux qui seraient préparés à être le troupeau du Bon
Berger quand Il viendrait. Ceux-là étaient « enfermés sous la garde de
la loi », (Galates 3 : 23), attendant que le Bon Berger vienne
pour ouvrir la porte et pour les appeler par leurs noms comme ses propres
brebis. D’autres, il est vrai, sont venus avant le Messie, chacun d’entre eux
se disant être le vrai berger, un conducteur envoyé de Dieu, mais ils n’étaient
que des prétendants qui cherchaient leur propre bien, leur propre gloire et non
le bien des brebis. Ils étaient des voleurs et des bandits qui cherchaient à
prendre possession des brebis pour accomplir leurs fins égoïstes.
Le « portier », (représentant la loi), ne
reconnaîtrait aucun de ces prétendants, ni ne les approuverait, ni ne leur
ouvrirait l’accès aux brebis. Mais, lorsque le vrai Berger est venu, Il a donné
satisfaction à la loi (au portier) et a acheté les brebis à la justice, donnant
sa vie comme prix de leur rédemption. Il a ainsi gagné le plein droit d’ouvrir
la porte, l’entière autorisation du portier, la pleine autorité pour conduire
les brebis vers les pâturages verdoyants et les eaux paisibles de la Vérité
devenus accessibles pour elles.
Au moment où Il présentait cette parabole, notre
Seigneur déposait sa vie et en même temps, Il faisait entendre sa voix pour que
les vraies brebis puissent apprendre à Le connaître. Toutes les vraies brebis
n’apprendront pas seulement à connaître le Berger mais, pensée précieuse !
le Berger connaît ses propres brebis individuellement, si bien qu’Il appelle
chacune d’elle par son nom quand Il les fait sortir. Cela nous suggère
l’intimité de la relation entre Christ et chaque membre de son troupeau.
La manière de s’occuper des brebis, dans notre partie
du monde, est différente de celle décrite dans la parabole ; cette manière
est encore en vigueur dans les pays d’Orient. Ici, les brebis sont conduites et
ont peu, sinon aucune connaissance du pâtre. Mais en Palestine, par exemple,
chaque brebis connaît personnellement son berger et inversement ; et l’on
dit que cette connaissance est si particulière que les bergers donnent un nom
distinct à chaque brebis et connaissent chacune d’elles individuellement par
son nom, la brebis connaît son nom et répondra, à tout moment, à l’appel de son
berger. Comme cela illustre merveilleusement la relation étroite entre Christ
et son troupeau : l’Eglise. Il donne à chacun de nous un nouveau nom et Il
nous connaît personnellement – Il connaît les traits particuliers de notre
caractère, notre tempérament, etc…, nos points forts et nos faiblesses – Il les
connaît tous. Il nous aime, Il s’occupe de nous, Il nous aide dans les épreuves
et difficultés, Il nous protège des tentations qui seraient trop fortes pour
nous. « Il ne permettra que vous soyez tentés au-delà de vos forces,
mais avec la tentation, il préparera aussi le moyen d’en sortir » et
fera en sorte que « toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment
Dieu, qui sont appelés selon son dessein » – son « petit
troupeau » - de cet âge de l’Evangile.
Nous remarquons aussi l’attention du Berger pour ses
brebis lorsqu’il dit : « il fait sortir toutes ses propres brebis,
il marche devant elles ». Le fait qu’Il les fasse sortir veut dire
qu’Il les surveille, pour qu’elles prennent la direction des verts pâturages et
des eaux paisibles pour le rafraîchissement de l’âme. Il n’est pas insoucieux,
imprudent, Il les respecte, qu’elles veuillent y aller ou non ; néanmoins,
lorsqu’Il les a amenées dans la bonne direction, Il ne les conduit pas de
l’arrière mais Il marche devant elles afin qu’elles puissent Le suivre. Notre
Bon Berger nous a en effet donné un noble exemple, pour que nous puissions
marcher sur ses traces ; et quiconque veut le faire, selon ses propres
capacités, trouvera ses désirs abondamment satisfaits car « il ne
refuse aucun bien à ceux qui marchent dans l’intégrité ». « Il
nous conduira par son conseil puis nous recevra dans la gloire. » –
Psaume 84 : 11 ; 73 : 24.
Les paraboles de notre Seigneur ne parlent pas des
corrections que les brebis sont certaines de recevoir, mais celles-ci sont
présentées dans un psaume prophétique concernant ce sujet en ces termes : « Ta
houlette et ton bâton me rassurent ». La pensée est que le Berger,
précédant et ne poussant pas son troupeau, manifeste néanmoins un tel intérêt
et une telle attention pour ses brebis qu’Il ne supporte pas que l’une d’elles
s’égare sans lui administrer certains châtiments destinés à son bien, pour la corriger
et la ramener en la compagnie du troupeau. C’est un réconfort et ce serait
certainement le désir de toutes les véritables brebis de suivre le Berger de si
près que le bâton ne sera pas souvent nécessaire.
Le lien entre le Berger et les brebis, tel qu’il est
signalé ici, est l’amour. Le Berger aime ses brebis et l’a montré en déposant
sa vie pour elles ; les brebis ont vite appris à aimer le Berger, qui est
leur gardien ; elles le reconnaissent à sa voix – la Parole de Dieu. Cette
voix appelle les cœurs de toutes les vraies brebis, qui rapidement
répondent : « Jamais homme n’a parlé comme cet homme ».
La voix du Bon Berger est un mélange de sons
tellement variés qu’aucune autre voix ne lui ressemble. Sa voix fait résonner
la corde de la Justice mêlée à la corde de l’Amour et le tout résonnant avec
Sagesse et Puissance. D’autres théories, plans, arrangements humains ou
diaboliques, n’ont pas une harmonie de sons semblable à celle du message que le
Suprême Berger nous a envoyé par son Fils. Sa voix nous parle de la juste
punition pour le péché – la mort ; elle parle d’amour, de notre rédemption
et du pardon de nos péchés, de l’ouverture de la voie qui mène à la vie, par la
résurrection. Cette parole de grâce contraint toutes les vraies brebis comme aucun
autre message ou voix ne pourrait le faire. De plus, lorsque les vraies brebis
entendent la voix du Bon Berger, cette voix répond à leurs désirs, attentes
comme aucune autre ne pourrait le faire. Elles ne seront plus en danger d’être
attirées par d’autres voix, théories ou arrangements mais elles répéteront à
tous : « Jésus m’a satisfait, Jésus est mien ».
Il y a
beaucoup de fausses voix dans le monde contemporain qui essayent d’égarer les
brebis du Seigneur, ces voix émettent des sons trompeurs pour imiter l’appel du
Berger, pour attirer les brebis afin qu’elles suivent des bergers que le
Suprême Berger n’a pas nommés, des bergers qui non seulement n’ont pas acheté
les brebis, mais qui veulent ignorer le grand sacrifice par lequel le Bon
Berger a acheté les brebis. Nous pourrions citer beaucoup de ces fausses voix
ou de ces faux bergers : la Science Chrétienne, la Théosophie, le
Spiritisme, l’Evolution, la Haute Critique, etc… mais la parole du Bon Berger
est là pour faire en sorte que les vraies brebis ne soient pas trompées. Elles
connaissent bien sa voix, et sa combinaison de Justice, d’Amour et de
miséricorde ne peut être copiée par d’autres – son message de rédemption par le
sang précieux, la justification par la foi, le haut-appel, l’engendrement du
Saint Esprit, la délivrance des fils de Dieu et finalement la délivrance de
tous ceux issus de la création entière gémissante qui voudront Lui obéir sous
le rétablissement.
Une
fois que l’on a entendu cette voix, on ne peut la confondre avec une autre, et
ceux qui connaissent le Berger et sa voix, ne seront jamais égarés par
d’autres. Les vraies brebis du Seigneur, celles qu’Il connaît par leurs noms et
qui Le suivent, ne feront pas attention aux voix de bergers étrangers, mais
fuiront loin d’eux. Elles savent, lorsqu’elles entendent une fausse voix, que
cela signifie que l’adversaire essaye de les prendre au piège et elles fuiront
loin de la voix de l’erreur pour s’approcher le plus possible du vrai Berger
qui donna sa vie pour ses brebis. Si toutefois nous en voyons, que nous avons
supposé faire partie du troupeau du Seigneur, portant attention à d’autres voix
et suivant d’autres bergers, étant inattentifs à la voix qui parle des cieux,
nous ne devons pas avoir peur ; car s’ils sont de vraies brebis du troupeau
du Seigneur, ils ne pourront être trompés longtemps. Nous pouvons en effet
faire retentir la voix du Bon Berger et attirer à nouveau leur attention sur
les harmonies et les beautés de la voix du ciel, mais s’ils n’entendent pas
encore et ne prêtent pas attention, nous pouvons reconnaître qu’ils
n’appartiennent pas au troupeau que notre Seigneur rassemble et garde.
Parmi
ceux qui ont entendu cette parabole des lèvres de notre Seigneur, peu nombreux
furent ceux qui l’ont comprise, peu nombreux furent ceux qui avaient l’oreille
attentive à la voix du vrai Berger ; seule une petite fraction du peuple
Juif L’a suivi, et ceux qui la composaient sont devenus ses vraies brebis. De
la même façon maintenant, beaucoup déclarent être les vraies brebis du troupeau
du Seigneur, mais dans ce jour de la présence du Berger, sa voix (la Vérité)
devient le test. Toutes les vraies brebis entendront et seront attirées par la
voix de la Vérité et lui obéiront. Le Berger désire que soient maintenant
séparés ceux qui ne font pas partie du troupeau du Bon Berger et qui n’ont pas
son esprit ; afin que cela se fasse, ils entendront la voix d’autres
bergers et seront ainsi trompés, parce qu’ils ne sont pas vraiment du troupeau
du Seigneur.
Le Docteur Porter raconte une scène à laquelle il a
assisté : plusieurs troupeaux de brebis étaient mélangés, pendant un
moment, et lorsque le temps convenable fut venu, la séparation eut lieu. Il
dit : « Nous étions assis et regardions, presque magnétisés. Les
collines silencieuses alentour furent rapidement remplies de vie et de bruit.
Des milliers de brebis et de chèvres étaient là, groupées en masses confuses.
Les bergers étaient ensemble jusqu’à ce qu’ils se décident à partir. Ils se
séparèrent alors, chacun empruntant un sentier différent et lançant un appel
spécial et strident à mesure qu’il avançait. Les brebis les entendirent ;
en premier lieu l’ensemble du troupeau oscilla et bougea comme secoué par
quelque convulsion interne, puis les brebis se mirent en mouvement formant des
pointes dans les directions prises par les bergers. Ces pointes devinrent de
plus en plus longues jusqu’à ce que les masses confuses soient devenues de
longs courants vivants se dirigeant à la suite de leurs conducteurs. »
Dans le temps présent, il y a beaucoup de brebis dans
l’église nominale mais elles ne sont pas toutes des brebis du Seigneur.
Certaines appartiennent à des dirigeants humains de différentes sectes et
d’autres appartiennent à Dieu. La moisson, ou la fin de cet âge de l’Evangile,
le temps de la séparation du blé et de l’ivraie, est l’époque pour séparer les
différents troupeaux. En accord avec cela, nous entendons maintenant des voix
diverses appelant les brebis dans des directions diverses comme jamais
auparavant. Selon la Providence Divine cela a pour but de séparer son
« petit troupeau » de toutes les autres brebis. Ses brebis entendront
sa voix et Le suivront, les autres brebis consacrées à des conducteurs humains,
des institutions humaines, des théories et efforts humains suivront leurs
propres penchants et seront ainsi séparées du « petit
troupeau » ; c’est ici la volonté de Dieu pour le temps présent.
Ainsi Il « arrachera de son Royaume tous les scandales et ceux qui
commettent l’iniquité », avant la glorification de son Eglise et le
grand temps de troubles qui va suivre.
Christ :
la porte de la bergerie de Dieu.
Pour expliquer le sujet, notre Seigneur se présente
comme étant la porte de la bergerie, la porte d’entrée naturelle et légitime
par laquelle le peuple de Dieu peut entrer dans le repos. Tous ceux qui sont
venus avant, se présentant comme messies, ont essayé de passer par un autre
chemin que celui par lequel il fallait garder la loi divine et acheter les
brebis. Ils étaient des brigands et des voleurs tentant de prendre ce à quoi
ils n’avaient pas droit et cela à des fins égoïstes. Mais aucune des vraies
brebis n’y a prêté attention, ni ne les a suivis. Or maintenant, le Bon Berger
était venu, Il avait acheté les brebis, ouvrant pour elles une porte légale et
leur donnant la liberté, et il était approprié que toutes les vraies brebis le
sachent. Maintenant il était possible, pour les brebis, d’avoir en Christ la
liberté si longtemps désirée et d’être conduites vers les pâturages et le
rafraîchissement, le repos et la sécurité. A partir de ce moment, le troupeau
de l’Eternel ne devait jamais manquer de pâturages puisque l’Eternel l’ayant
acheté par son Fils, Il s’occupera de lui. Et la brebis peut dire à
présent : « Oui, le bonheur et la grâce m’accompagneront tous les
jours de ma vie et j’habiterai dans la maison de l’Eternel jusqu’à la fin de
mes jours. »
D’autres
qui ont approché les brebis, cherchant à être des conducteurs, l’ont fait d’une
manière égoïste et ont voulu sacrifier les brebis dans leurs propres intérêts,
mais le Bon Berger a démontré par son propre sacrifice pour elles qu’Il était
attentif à leurs meilleurs intérêts, de sorte qu’elles puissent avoir une vie
plus abondante, meilleure qu’elles ne l’avaient jamais eue auparavant – la vie
éternelle. Les bergers « mercenaires » travaillent pour de l’argent
et non à cause d’un intérêt personnel pour les brebis, et en conséquence, au
lieu d’être prêts à déposer leurs vies pour les brebis dans des périodes de
difficultés et de persécutions pour la justice, ils sont plutôt prêts à fuir
face aux troubles et à éviter les persécutions. Ils pensent principalement à
leurs propres aise et confort, honneur et dignité, et quel profit ils peuvent
obtenir des brebis. Ils ne sont pas très profondément concernés par les progrès
spirituels des brebis, par leur croissance en grâce, ni par le développement en
elles de l’amour, ni par leur bien-être spirituel, mais ils le sont plus
spécialement par les nombres et les collectes.
Il est probable que cette vérité n’ait jamais été
plus qu’à présent aussi clairement illustrée parmi ceux qui sont ouvertement
les représentants du Bon Berger – les « sous bergers » de son
troupeau. Beaucoup d’entre eux donnent l’évidence de vouloir être populaires à
tous les points de vue, de ne pas vouloir souffrir pour le bien de la Vérité,
de ne pas s’occuper de la vraie condition spirituelle du troupeau, et d’être
plutôt intéressés par les institutions humaines par lesquelles ils sont
soutenus et avec le bien-être desquelles leurs honneur, dignité, et titres sont
associés. De tels bergers sont décrits par le poète Milton :
« ………………………. bouches aveugles
Mais gonflées de vent et de brouillard, elles se rassemblent
Pourrissent de l’intérieur et répandent la contagion infecte ».
Le philosophe chrétien John Ruskin commente ceci en
disant : « Ces deux mots - bouches aveugles - expriment
précisément les propositions contraires exactes du véritable caractère dans les
deux grands pouvoirs de l’église, ceux de l’évêque et du pasteur. Le terme
« évêque » signifie quelqu’un qui voit ; le terme
« pasteur » s’applique à celui qui nourrit. Le comble pour un évêque
est donc d’être aveugle et pour un pasteur, au lieu de nourrir, est donc de
vouloir être nourri, autrement dit d’être une bouche ».
Néanmoins, le Bon Berger sera toujours représenté
parmi ses brebis, par celles qui ont ses propres caractéristiques et qui
essayent de marcher sur ses traces ; au travers d’elles Il fera entendre
sa voix et conduira ses propres brebis vers les pâturages et le repos. Ces
brebis-là n’auront pas seulement la même voix, la même Parole, les mêmes bonnes
nouvelles, mais elles auront le même dévouement pour les intérêts des brebis –
pour les nourrir, les conduire vers les verts pâturages et les eaux paisibles
de la Vérité présente, pour préserver leurs libertés dans le Seigneur, et non
pas pour les enfermer comme leur propriété ou pour en faire des marchandises.
Le Bon Berger, Jésus, fait référence au Père, le
Suprême Berger, l’Eternel, dans le verset 15 : « Comme le Père me
connaît (a confiance en Moi, M’a confié le soin des brebis) et comme je
connais le Père (ayant pleine confiance en Lui et reconnaissant en Lui mon
Berger, conducteur et chef) ; et (cela est en harmonie avec ses
arrangements pour Moi et les brebis) je donne ma vie pour mes brebis. »
Les
brebis que J’appelle maintenant, que Je conduis vers les pâturages, dont Je
M’occupe, que J’appelle par leur nom et qui Me connaissent, sont un groupe très
spécial de brebis ; seulement un petit troupeau pour qui l’Eternel, le
Grand Berger a fait des arrangements spéciaux et des provisions spéciales dans
son Royaume de gloire. Cependant celles-ci ne sont pas la totalité de ses
brebis, bien qu’elles soient toutes appelées et conduites. « J’ai d’autres
brebis qui ne sont pas de cette bergerie ». J’ai acheté le monde
entier par l’unique sacrifice pour le péché et tous ceux qui ont la disposition
des vraies brebis, tous ceux qui veulent être en harmonie avec la justice, la
Vérité et leur auteur, Je dois les reconnaître comme mes brebis et Je dois les
chercher au près ou au loin jusqu’à ce que chacune d’entre elles soit trouvée.
Mais, ce n’est pas encore pour maintenant, cela se fera plus tard, après que
l’actuel « petit troupeau » sera glorifié avec Moi. Alors ils seront
avec Moi les bergers qui vont rassembler toutes les vraies brebis, les
délivrant toutes de la puissance de l’ennemi, et, finalement, ramèneront tous
ceux qui voudront obéir à ma voix, dans la condition d’unité, d’harmonie, avec
le Père Céleste et avec Moi-même ; dans cette condition, en tant que mes
brebis, il leur sera accordé la vie éternelle : « … et il y aura
un seul troupeau, un seul berger », comme il est écrit : « …
duquel tire son nom toute famille dans les cieux et sur la terre. » -
Ephésiens 3 : 15.
WT1900 p.2672